Ce travail, comme une suite de l’antérieur (Ci-dessous, appellant 「Balzac-1」), a l’intention de continuer à réfléchir sur le sujet de ‘la mort de Balzac’. et c’est pourquoi on pourrait le nommer 「Balzac-2」. Si celui-là était une étude sur la problématique en général de la mort de Balzac, surtout sous la perspective du ‘destin d’un écrivain moderne, ses splendeurs et misères’, celui-ci tente de l’approfondir plus en détail et plus profondément. Et cela évoque déjà l’étendue de ce sujet et ses intérêts particuliers aussi, par rapport à sa vie biographique extrêmement mouvante, énergique et volcanique. En outre concernant le sujet de la mort de Balzac, il mérite d’insister avant tout sur les aspects de contraste extême de ses ‘splendeurs et misères’, qui sont d’ailleurs l’expression favorite de l’auteur lui-même. C’est le premier point qu’on remarque en étudiant sur sa mort, au fond le contraste de ses gloires et chutes est véritablement extrême. Ainsi donc, au printemps encore hivernal de 1850, Balzac revient de Verkhivnya en Ukraine à Paris en tombant malade de mort. C’était son 2ème et dernier voyage à Verkhivnya, où réside Eveline von Hanska, cette ‘rose’ poursuivie par ‘Balzac-bengali’ durant 18ans, depuis 1832. Et conscient de ces aspects contrastés- gloire et ruine -de sa mort, on a tenté d’approfondir dans ce travail, 「Balzac-2」, surtout les deux itinéraires de son grand voyage en Europe de l’est, lesquelles on a déjà nommées, dans 「Balzac-1」, ‘Route de Balzac-Hanska’. Voilà pourquoi ce présent travail, 「Balzac-2」, se focalisera principalement sur le dépistage de ses trois grands voyages, dont l’un est ceui à Saint-Péterbourg, capitale de l’Empire russe à l’époque de Balzac, et les deux autres sont bien sûr les voyages à Verkhivnya. Concernant ces deux voyages en Ukraine, on les y nommera chacun ‘Route de Balzac-Hanska (1)’ et ‘Route de Balzac-Hanska (2)’. Faisant l’exploration plus minitueuse de ces deux routes trans-euro/russes, trans-frontalières et trans-européennes, en commun tragi-glorieuses, on s’aperçoit de nouveau de la grandeur de Balzac, son envergure immense et son courage invincible aussi. Il est certain que ces trois grands voyages, en particulier son 2ème voyage en Ukraine, pays trop lointain et dangereux aussi, lui a fait user trop d’énergies vitales. Ce qui l’emmenera en effet à Paris en état d’un moribond, tout apès ses noces au 14 mars 1850, et après, ainsi qu’on le sait bien, il se précipitera rapidement au décès, tellement tragique, qui le surprend peut-être trop tôt. Il laissera alors tant de traces de sa vie, à la fois splendide et misérable, y compris des dettes non négligeables, dont le joug l’avait torturé toute sa vie, et la liquidation posthume avait été finalement la part de sa femme. C’est-à-dire ‘Eve-rose’ laissée toute seule au milieu de Paris, ville étrangère, qui avait tout quitté ou plutôt abandonné, Ukraine, son pays, et son château de Verkhivnya, de plus sa grande famille polonaise aristocratique. Enfin, fermant ce travail, 「Balzac-2」, originairement amorcé par une lecture de La Mort de Balzac d’Octave Mirbeau, lequel s’est focalisé grosso modo sur la quête des itinéraires de ses grands voyages en Europe de l’est, on se rend compte encore de la dimension immense de Balzac, ce grand écrivain moderne de La Comédie humaine, et de son destin extrême, ses splendeurs et misères.